Jean-François et Bertrand comparaissent respectivement à 11h et à 15h30 devant le Tribunal d’application des peines à Lantin, dans le cadre de leur liberté conditionnelle.

Aucune convocation ni modification des termes de la conditionnelle de l’un ou de l’autre n’a jamais été envisagée par les agents de probation responsables du suivi administratif depuis la libération de nos camarades.

C’est le 5 juin que l’on ordonne un mandat d’arret à l’encontre de Jean-François, alors que celui-ci n’a aucun lien avec les inculpations traitées lors de la Chambre du Conseil et de la Chambre des mises en accusation. Ce n’est pas le fruit du hasard: il s’agit bien ici d’une manipulation de l’opinion publique pour diaboliser le Secours Rouge!

C’est après 8 ans sans aucun problème que soudainement, on constaterait que Bertrand a enfreint les termes de sa conditionnelle. Alors que les visites chez son agent s’espaçaient, qu’elles se déroulaient bien, que Bertrand a toujours été joignable et a toujours répondu aux convocations, prévenu de ses déplacements et rempli ses obligations: soudainement, depuis le 5 juin 2008, l’administration aurait des reproches à lui faire qui n’auraient pas pu faire l’objet de simples convocations ces dernières années… Personne n’est dupe!

Cela suffit! Libérez Jean-François et Bertrand! Acquittez Bertrand, Wahoub, Abdallah et Constant!