Quick a fait savoir au travers d’un communiqué qu’il attaquerait en justice l’employé qui avait dénoncé sur Twitter l’hygiène déplorable et les conditions de travail des salariés de Quick. La chaine de restaurants prétend que l’employé a clairement exprimé son refus de dialoguer en postant ces messages ‘anonymement’ sur internet. Cliquez ici pour la page Twitter en question.