Suite à un contrôle d’identité dans la rue en banlieue parisienne, Lucile avait été condamnée à 3 mois ferme (voir notre article sur le procès). Emprisonnée à Fleury-Mérogis depuis le 14 octobre, elle est sortie le 21 décembre dernier par le jeu des remises de peine légales (7 jours par mois pour les peines inférieures à une année) et supplémentaires (à la discrétion du personnel pénitentiaire qui se base sur la participation de la prisonnière aux « activités », notamment le travail, mais aussi les séances de sport et autres).