A Paris, la vidéo-verbalisation a début le mois passé: des caméras de vidéosurveillance traqueront les contrevenants sur 13 axes de la capitale, choisis parce que régulièrement engorgés à cause des stationnements gênants. La préfecture s’appuiera sur les 1 037 caméras déjà existantes pour identifier et sanctionner les mauvais conducteurs : un agent assermenté constatera l’infraction grâce à la vidéo et photographiera le véhicule afin d’identifier l’immatriculation et la marque. Les informations seront ensuite transmises au Centre national de traitement de Rennes, qui dressera un procès-verbal du montant identique à celui d’une amende classique. A Asnières-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine, le dispositif existe depuis un an et plus de 1 300 contraventions ont déjà été adressées grâce à ce système.